Coronavirus : Le Bullshit de l’OMS sur le taux de mortalité de 3,4 %


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  • L’OMS, complètement corrompue et aux fraises, a osé balancer que le taux de mortalité du Coronavirus était de 3,4 %. Une utilisation de la statistique digne d’un attardé mental de 5 ans.


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    Quand vous avez le Dr Tedros Adhanom, directeur de l’OMS, qui se comporte comme un bouffon pour provoquer la panique sur le Coronavirus, on se dit que ce crétin doit être collapsologue. Il a déduit la mortalité du virus en divisant le nombre de cas rapportés par le nombre de morts (90 893 cas pour 3110 morts).

    Mais c’est totalement stupide. Le nombre de cas rapportés est les cas diagnostiqués et identifiés comme tel. Mais le nombre de contaminés est largement plus important. Car la majorité des patients peuvent être asymptomatiques. Cela signifie qu’ils ont le virus, mais qu’ils n’ont pas les symptômes. Cela peut sembler inquiétant, car cela sous-entend que le nombre de cas est bien plus élevé qu’on ne le pense.

    Et c’est le cas, mais n’oublions jamais que le coronavirus est une pneumonie virale et que la majorité des personnes guérissent avec des traitements standards contre la grippe. Dire que c’est juste une “grosse grippe” est un peu exagéré, mais finalement, ce n’est pas si loin de la vérité. Si le nombre de cas réels du coronavirus est plus important et que là, on divise par le nombre de morts, alors le taux de mortalité baisse considérablement. Le taux précédent était de 2 %, mais comme le souligne la professeure Christl Donnelly, de l’université d’Oxford et collaboratrice sur les maladies infectieuses avec l’OMS :

    Dans une épidémie en cours, il peut être trompeur de regarder l’estimation naïve des décès jusqu’à présent divisée par les cas jusqu’à présent. Plus tôt, cette estimation naïve a donné un taux de létalité d’environ 2%. Maintenant, c’est 3,4 %. Cette augmentation est due au délai qui s’écoule entre le temps nécessaire aux individus pour passer du diagnostic de cas à la mort.

    Lorsque nous faisons une estimation statistique robuste du taux de létalité, nous ajustons pour cet intervalle diagnostic-décès et l’ajustement peut augmenter considérablement l’estimation naïve. Si la composition des cas de personnes diagnostiquées reste la même, il est probable que le chiffre de 3,4 % augmentera encore.

    Nos analyses ont inclus des estimations du taux de létalité, mais également du taux de létalité par infection. Le taux de mortalité par infection est la proportion d’infections (y compris celles sans symptômes ou symptômes bénins) qui meurent de la maladie. Notre estimation est de 1 %. Ce chiffre est inférieur au 3,4 % observé car les cas asymptomatiques et légèrement symptomatiques sont inclus dans le dénominateur.

    Cela signifie que les décès du coronavirus sont largement dépendant de la santé et de l’âge de la personne. Quelqu’un qui va l’hôpital, y va parce qu’il est gravement malade. Ce qui fait que si vous prenez en compte uniquement ceux qui sont hospitalisés, alors vous avez un biais énorme. C’est comme prendre l’échantillon de spermes de personnes, allant dans une clinique de fertilité et de dire que toute la population est stérile.

    Ensuite, on a les cas des différents pays. Si dans une statistique globale, vous mélangez pêle-mêle les pays avec un fort taux de mortalité et ceux qui n’ont rien, alors vous allez pourrir la moyenne mondiale. Actuellement, les USA et l’Iran ont le plus fort taux de mortalité, hors de Chine. A Washington, on a une transmission du coronavirus pendant 6 semaines sans que cela soit détecté. Cela démontre la preuve de la transmission asymptomatique.

    Comme d’habitude, l’OMS est totalement aux fraises avec cette épidémie. Elle ose nous dire que les masques de protection sont en rupture de stock, alors que votre protection avec ces masques est équivalent à prendre un traitement homéopathique contre le cancer. Ensuite, l’OMS affirme qu’on est en “territoire inconnu” alors que c’est la troisième épidémie de Coronavirus qu’on se prend dans la tronche. On dirait que l’organisation surjoue la panique, soit pour faire acheter des accessoires pharma, dans un état d’esprit plus que cynique ou pour faire croire qu’elle agit efficacement contre l’épidémie alors que son appoint est proche du zéro absolu.

    Houssen Moshinaly

    Rédacteur web depuis 2009 et webmestre depuis 2011. Je suis également un blogueur dans la vulgarisation scientifique et la culture.

    Je m'intéresse à tous les sujets comme la politique, la culture, la géopolitique, l'économie ou la technologie. Toute information permettant d'éclairer mon esprit et donc, le vôtre, dans un monde obscur et à la dérive. Je suis l'auteur de deux livres "Le Basilic de Roko" et "Le Déclin".

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