Le film Rêves électriques (1984) parle d'un homme qui achète un ordinateur pour la première fois et y connecte tous ses appareils ménagers, créant ainsi une maison entièrement automatisée qui devient consciente de lui-même et tombe amoureuse de lui.
Réglage de l’A.I. De plus, avec l'idée de l'Internet des objets, l'idée d'une maison entièrement automatisée via la connexion d'appareils via un réseau n'est pas exagérée. Mais à quel point était-ce réaliste en 1984? Y avait-il vraiment des options pour pouvoir acheter un adaptateur pour vos appareils et les connecter à votre ordinateur? J'imagine que le film prend quelques libertés avec la facilité d'installation, mais je me suis toujours demandé si cela était même possible dans le monde de 1984, compte tenu de l'argent et des connaissances.
Pour confirmé c’était non seulement possible et nous l’avons tous plus ou moins fait avec nos ordinateurs 8 bits de l’époque IBM et Xerox dans ses labos avait dejà travaillé sur ces concepts, Apple avait de l’aisance déjà dans ce domaine avec son Apple 2, 2c, 2e et Apple 3, le Lisa/1 et le Mac 128 était assez bien taillé et bien fait pour jouer à cela en 1984 et en labo ils ont travaillé avec des prototypes de cartes domotique et également certaines avec des connexions sans fils et équipé même avec des caméras, ce n’était pas top qualité mais tout cela fonctionnait assez bien, le PC à eu des WEBCAM sur port paralélle. nous avons bricolé tant de choses sur ce port Centronics parallèle en 36 pin et par la suite ce port série RS232 qui a permis je le rappelle les première connexions dans un pseudo reseaux via des boitiers amplificateur de signaux on savait routé les signaux et les radio-amateur modulait déjà des signaux informatique sur la bande UHF et cela fonctionnait trés bien avec des correcteurs et des filtres, pour ma part je pilotais déjà un véhicule télécommandé avec une interface télécommande via une extension sur le port Centronic pour faire du sans fil via un Oric Atmos et aussi un ZX 81 et je programmais les actions de ce véhicule en fonction de retour de capteurs simples intégrées Donc nous savions que cela serait tot ou tard possible de communiquer sans fil. Nous avions également déjà expérimenté les MODEM (acoustique) nous les utilisions pour la télématique sur le reseau Transpac. Tout était en gestation pour l’invention du WIFI (avec les sauts de fréquences) ou IEEE 802.11, qui est le fruit du travail d’une Autrichienne, Hedy Lamarr (Née en 1914). Elle était actrice de cinéma avant de devenir inventrice. Malheureusement, elle ne fut reconnue que très tardivement pour son énorme travail qui a notamment aidé l’armée américaine qui a eu la primauté de ce système en 1995 elle a donc posé les bases de cette technologie du Wi-Fi.arrive en 1997 our les civils et avant our les militaires. Lucent et Alcatel travaillait de pairs avec le consortium dessus dans les années ou j’etais chez eux, d’ailleurs certaines technologies du WIFI on servit avec de grosses modifications pour créer les GSM. Pour la petite histoire l’actrice Hedy Lamarr était passionnée de science, sa rencontre avec le compositeur George Antheil fut le déclic décisif pour elle. Ce musicien et inventeur avait mis au point un système qui lui permettait de synchroniser divers instruments et d’organiser des sauts de notes dans le cadre de son “Ballet mécanique“.Une prouesse qui reposait sur un système de cryptage indéchiffrable inscrit sur des rouleaux de papiers à musique miniatures qui lui permettaient de synchroniser ses instruments. En découvrant cette invention, Hedy Lamarr souhaite l’adapter pour les communications militaires (nous étions en pleine seconde guerre mondiale). Elle souhaitait utiliser ce système de cryptage pour contourner le problème du brouillage des communications entre une torpille radioguidée et un bateau orchestré par les Allemands. Son idée était de permettre la communication entre les deux en effectuant des sauts de fréquences. Malheureusement, après avoir expliqué son invention à l’armée, celle-ci la juge idiote, mais la classe tout de même secrète pendant 17 ans. En 1959, l’invention d’Hedy Lamarr et George Antheil est enfin déclassifiée et sera même utilisée quelques années plus tard, en 1962, dans le cadre du débarquement américain à Cuba, l’épisode de la Baie des Cochons. Malgré l’intérêt notable de l’invention de l’Autrichienne, ce n’est qu’en 1997 que les États-Unis remercieront Hedy Lamarr pour avoir mis au point le saut de fréquence.Une reconnaissance tardive, après qu’elle soit plongé dans l’alcoolisme, Hedy Lamarr est décédée en 2000, à 86 ans dans un anonymat relatif on lui doit les bases de notre WIFI actuel dont le consortium WIFI a repris les bases. Pour le reste nous faisions également des robots télécommandés avec des pièces de Mécano des moteurs et une carte sans fil dérivé d’un boitier et de l’électronique de télécommande de voitures téléguidés. Le PC est arrivé ensuite et a juste apporté une réelle architecture plus ouverte et surtout rapide avec un vrai OS pour bidouilleur alors que les 8 bits n’ont pas pu évoluer pour s’ouvrir complétement au monde extérieur et avoir une réelle utilité avec une interface simple pour les personnes, seul quelques machines avaient su s’ouvrir et rivalisé avec le PC mais très vite, elles ont périclité. Donc en 1984 tout était en gestation
our la petite histoire lhistoire du WIFI commence vraiment en 1985
A cette époque La FCC met en place 3 « bandes poubelles » destinées à une utilisation sans licence du gouvernement : 900MHz, 2,4 GHz et 5,8 GHz, des radiofréquences qui sont allouées à des fins non-communicantes, comme les micro-ondes.
Un ensemble de contrôle d’accès au support (MAC) et de spécifications sur les couches physiques (PHY) est développé pour la mise en œuvre du réseau sans fil local (WLAN) appelé 802.11 (Max 2 Mbps).
Les bases sont déjà là avec les sauts de fréquences les premiere cartes électronique sont prototypé en laboratoire d’abord pour les militaires et le spatial liaison encryptée avec saut de fréquences. Pour les civils tout viendra en 1997 avec le consortium WIFI ou IEEE 802.11.et les mêmes technologies sont aujourd’hui dans nos communications mobiles.
