Étant donné que Paypal n’est pas disponible à Madagascar, de nombreuses personnes se tournent vers Payza, Skrill ou Payoneer. Dans le cas de Skrill, ça s’est cassé la gueule puisque les banques malgaches ont décidé d’interdire Skrill. Ce dernier est également indisponible pour des plateformes comme Upwork. Payoneer marche plutôt bien, notamment pour les paiements en ligne, car le retrait via une carte dans des distributeurs automatiques des banques malgaches est comme la loterie. Parfois, ça marche, parfois, c’est la merde et en vérité, c’est souvent plus la merde. On recommande également Payza, mais je pense qu’il faut l’éviter à cause d’une simple raison qui est liée dans l’image ci-dessous.
On voit tout de suite que Payza propose deux types de compte, Personnel et Affaires. Et le problème est qu’avec le compte Personnel, on ne peut pas recevoir des paiements. Mais dans la page des transactions, on peut lire que les deux comptes peuvent recevoir des paiements à Madagascar, mais étant donné la réputation très douteuse de Payza, je suis certain qu’il faut un compte Affaires.
Et c’est la réception des paiements en ligne à Madagascar, pas l’achat en ligne. En fait, les internautes malgaches peuvent payer en ligne via Paypal ou Payoneer, mais c’est uniquement pour les paiements et non la réception. De plus, les transactions de Payza sont assez chères puisque la réception de paiement est de 2,90 % ajoutée de 0,30 dollar. Et pour les virements bancaires, c’est 15 dollars. En général, le virement bancaire ne doit pas supérieur à 10 dollars et même dans ce cas, je trouve que c’est encore cher. De plus, Payza propose une assistance technique catastrophique où on n’a jamais de réponse. Donc, pour le moment, évitez Payza pour vos paiements en ligne à Madagascar, ce n’est pas fiable sur le long terme. Si vous utilisez Payza à Madagascar, alors je serais heureux d’avoir vos expériences. Est-ce que vous pouvez recevoir des paiements avec le compte Personnel, quels sont les commissions et les délais et est-ce que vous avez eu des problèmes dans le traitement des fonds.
Madagascar : Entre crises perpétuelles et espoirs sans lendemain
