Est-ce qu’on aura un vrai Joker, un jour ?
Le Joker de Joaquin Phoenix manque de nombreux points en étant un bon film. Mais est-ce que le Joker est seulement adaptable au cinéma ?
Mes critiques sur les films et les séries TV. Des critiques sans concession avec un avis personnel bien tranché.
Le Joker de Joaquin Phoenix manque de nombreux points en étant un bon film. Mais est-ce que le Joker est seulement adaptable au cinéma ?
A part le fait qu’un coréen obtienne une palme, est-ce que son Parasite est-il vraiment digne d’éloges ou une critique rabâchée sans aucune originalité.
Ad Astra est un film qui transcende la relation père-fils aux confins du système solaire. Une oeuvre maitrisée, donnant une bouffée de fraicheur à la SF.
Jumanji 3 montre une absence de risque abyssal et une incompréhension totale de l’interprétation de Robin Williams. On aurait espéré que ce soit le dernier.
Le premier Frozen est devenu un phénomène de société. Frozen II n’est qu’une espèce de gloubi-boulga qui mélange le progressisme mortifère, mais qui est sauvé par la superficialité de Mme Michu.
La Reine des neiges 2 propose des enjeux ridicules et insipides à souhait. Toutes ses bonnes intentions se perdent dans la neige la plus froide.
On attendait beaucoup ce Terminator: Dark Fate produit par Cameron. Il arrive à laver les saletés de ces prédécesseurs, mais l’aspect brouillon gâche tout le reste. De bonnes idées, mais Dark Fate nous prouve que la thématique des robots tueurs doit rester dans le cimetière ensoleillé de notre jeunesse et enfance des années 1980.
On attendait le film du Joker avec impatience. Mais force est de constater que la prestation de Joaquin Phoenix fait plus ou moins bailler aux corneilles. Si vous avez vu le Joker dans ce film, alors comme lui, sachez qu’il n’existe que dans votre imagination.
Vous prenez un dessin animé de Looney Tunes, vous le mélangez à la philosophie des faucons américains et le coeur brave de John et vous obtenez un Rambo 5 dont le ridicule est tel qu’il frise le sublime. Rambo : Last Blood nous murmure à l’oreille que Rambo restera Rambo.
Ad Astra nous propose une merveille de l’optimisme humain. Des liens inextricables et parfois destructeurs de la famille. Et aussi une amertume de ce qu’est devenu notre civilisation. Ad Astra nous propose une vision totalement différente de ce que peut être une oeuvre de science-fiction.