La mode des dénonciations et des accusations de harcèlement sexuel est retombé dans le public et la politique. Bon, de temps en temps, on a des furies qui balancent du MeToo ou du Balance Ton Porc pour avoir quelques retweets de compassion, car elles sont trop médiocres produire quelque chose d’intelligent.
Mais la vague des accusations des harcèlements sexuels provoquent un véritable tsunami dans les universités, notamment américaines. Il ne se passe pas une semaine sans qu’on entende qu’un professeur a été viré ou qu’il a démissionné de peur d’être lynché sur la place publique. Et dans de nombreux cas, la place vacante est reprise par la femme qui a porté plainte à la base. J’ai vu quelques cas de ce genre. Ou encore, on a une tendance plus globale des femmes qui occupent des postes de plus en plus importants parce qu’elles n’ont pas les procédures légales pour le faire de manière légitime. Toutefois, le harcèlement sexuel est une arme politique comme une autre, mais l’hypocrisie est qu’on a tendance à cacher les coupables de son propre camp et même à les défendre.
De même, les postes de recherche ont durée de vie très longue (quasiment toute une vie) et donc, certaines demoiselles en ont marre d’attendre. Toutefois, on est très loin du féminisme dans l’égalité homme-femme puisque ce féminisme mainstream anglo-saxon considère que les femmes sont supérieures aux hommes à tous les points de vue. Ce qui est la définition de l’eugénisme et du racisme.
Drôle d’époque !