Parfois, je déteste les scientifiques militants plus que les militants eux-mêmes. Il y a quelques jours, des crétins de chercheurs ont osé publier une étude montrant un effet potentiellement négatif du glyphosate sur les abeilles. L’étude est à hurler de rage tellement elle est moisie par tous les cotés.
- Ces cons ont mis 5 mg/l à 10 mg/l de glyphosate sur des abeilles individuelles.La dose journalière admissible pour un humain est de 0,5 mg/l
- Oui, ces baltringues ont mis 10 fois la dose recommandée et ensuite, ils osent nous dire que c’est dangereux.
- Mais même avec cette dose, ils n’ont pas pu démontrer sa novicité sur les abeilles.
- Donc, ils se sont rabattus sur le microbiome.
- Le microbiome est le truc idéal pour l’escroloc/militant/scientifique. Car comme on ne connait rien du microbiome, on peut tout dire et n’importe quoi.
Ces gens sont des pseudoscientifiques, des escrocs et il est hallucinant que cette étude ait pu être publié dans PNAS. Ce n’est pas avec ce genre de merde que l’Open Access va améliorer sa réputation. En sachant que la dose de l’EFSA est très conservatrice. L’EPA aux USA parle plutôt de 1,5 mg/l pour un humain. Pour ces pseudoscientifiques de merde, voilà un petit scoop, LES ABEILLES NE SONT PAS DES HUMAINS.
Je hais ce type de scientifiques. Ils sont la honte de toute la recherche, et ils le font uniquement pour faire le buzz. Aucun média sérieux n’a osé relayé ce torchon de PNAS. Et tant mieux. Si les journaleux filtrent les recherches, cela incitera ces pseudoscientifiques à publier tout et n’importe quoi en espérant qu’on va gober toutes leurs âneries. Non, le glyphosate n’est pas dangereux, non, il ne l’est pas.