Comme d’habitude, Thinker View a fait une excellente interview avec Pierre Conesa qui revient cette fois sur la propagande américaine via le cinéma et la culture. Et c’est là que tu te rend compte que l’Amérique n’a pas d’histoire. Son histoire commence avec la guerre de sécession, mais c’est tout. Contrairement à l’Europe, l’Afrique, l’Asie qui ont des millénaires d’histoires pour les façonner, l’Amérique est un trou béant en terme historique.
Les enfants américains n’apprennent pas l’histoire,mais uniquement le nationalisme chevronné de leurs pères fondateurs. De ce fait, les Américains ont principalement connu l’histoire avec la culture et le cinéma dont le racisme a toujours considéré le monde entier comme les ennemis. Les peaux rouges, les russes, les musulmans, etc.
De plus, les américains n’ont quasiment aucune connaissances des langues étrangères. A l’école primaire, on préfère parfois le langage des signes et peut-être une autre langue étrangère, mais cela représente que 10 à 30 % des écoles primaires. Et sur les enfants américains qui apprennent une langue étrangère à l’école, seul 1 % d’entre eux va la préserver à l’âge adulte. Mais la pire statistique est que 75 % des Américains parlent uniquement l’Anglais-Américain. Cela dénote une absence d’ouverture totale au reste du monde alors que les Américains ne représente que 5 % de la population mondiale. En résumé, les Etats-Unis sont :
- Un peuple sans aucune histoire
- Une connaissance historique construite à partir du cinéma hollywodien
- Complètement refermé sur eux-mêmes
Cela nous donne un peuple, raciste à l’extrême et considérant que l’univers tourne autour d’eux. Et on ne parle même pas de l’illettrisme sur des choses telles que la pensée grecque sur les idées scientifiques. Démocrite, Anaximandre ou Avicenne, ils ne connaissent pas. Même les universitaires américains en ont simplement une vague idée. Et le pire dans tout ça est que les peuples européens et occidentaux s’inspirent de l’Amérique pour façonner leur vision du monde. Rien d’étonnant à ce qu’on ait un monde de merde.