C’est un peu trop nostalgique à mon gout. Mais le mec parle des sites web vraiment à l’ancienne. Ceux qu’on hébergeait chez son FAI et que le cout de la connexion coutait un tiers du salaire (c’est toujours le cas pour certains pays). Des sites faits à la main, à l’arrache avec du code à la pisse. Des tableaux HTML sous Frontpage.
C’était le bon vieux temps. Mais contrairement à ce que dit l’article, on peut encore en trouver, notamment en français avec les sites chez Free qui n’ont pas été mis à jour des décennies et qui contiennent les meilleures informations. A cette époque, les gens partageaient de vraies connaissances sur internet, mais par la suite, ils ont en eu marre. Et aujourd’hui, on a un web scintillant, mais qui recycle toujours et encore les mêmes merdes.