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Beaucoup de malotrus voient du racisme dans les écrits de Lovecraft. Et c’est vrai que certains passages font tiquer. Le sang noir dans l’affaire Charles Ward ou encore le cauchemar d’Insmmouth. Toutefois, il faut le regarder dans son contexte. Lovecraft, dans ses écrits, montre une couardise face au monde qui vient. C’est une noble couardise et l’aspect gigantesque des menaces et les adjectifs utilisés montre sa peur face à un monde qui le dépasse.
Le 20e siècle va industrialiser tout l’occident, il sort de la Première Guerre mondial et en science, les découvertes s’enchainent les unes après les autres. On comprendra avec Einstein, souvent cité par Lovecraft, que l’univers n’est plus infini ou statique, mais un objet avec un début, un fin et un milieu. Cela donne des possibilités immenses sur la compréhension du cosmos et l’invention de la cosmologie.
Toutefois, de nombreuses prédictions de Lovecraft se sont réalisés, l’effondrement de la race occidentale, le métissage continu de la population. Le grand remplacement, aujourd’hui, chanté à tue-tête par tous les blancs aux alentours, trouvent leurs échos dans la démesure que Lovecraft voyait dans les mondes étrangers et impies. Quand je vois des crevards, qui tentent de réécrire Lovecraft en enlevant l’aspect racisme, cela me fait vomir au plus haut point.
Des médiocres et des faibles d’esprit tentent de comprendre l’un des génies de l’épouvante. Le racisme de Lovecraft ne fait de mal à personne et seules les plus faibles se sentent obligés de torturer et de salir les morts. Les mêmes, qui ne pourraient pas écrire une seule ligne, similaire à Lovecraft même s’ils s’y prenaient pendant 10 ans. Laissez Lovecraft tranquille et admirez simplement son génie, c’est tout ce qu’on peut faire face à de tels récits.
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