Les 7 péchés capitaux du joueur de casino en ligne

Levez la main si vous avez déjà été touché par ces péchés qui frappent la majorité des joueurs sur les casinos en ligne.

La gourmandise de bonus

C’est le principal point de vente de nombreuses plateformes, des bonus à n’en plus savoir qu’en faire. Ensuite, vous déchantez, car vous voyez tous les conditions les plus improbables pour en bénéficier. Genre, misez 200 balles dans un T-shirt aux couleurs du casino pour les avoir… sauf que vous n’aviez pas prévu que le site ne propose aucun T-shirt.

Vous vous renseignez à droite et à gauche et pendant ce temps, vous misez de manière classique et le tour est joué, le casino vous a eu par la gourmandise du bonus. Le bonus, c’est bien,mais faut pas en abuser.

L’avarice des mises

Quand j’étais un freluquet sans aucune expérience, ne sachant pas que le casino, c’est de la chance combiné à la stratégie, je pensais que miser 0,5 centimes allait me rapporter 10 millions d’euros. Heureusement que j’ai compris que le gain est proportionnel à la mise, créé par des mathématiciens qui n’ont pas pu trouver une place à Bercy (pas pour un concert hein, pour la finance) sur comment dépenser de l’argent qu’on n’a pas. On a le même problème pour les jeux d’argent, comment gagner le maximum en dépensant un solde négatif.

La colère face aux pertes

Face aux pertes, je suis le conseil de Jacques Villeret dans la Soupe aux Choux, je “bois de l’eau”. Beaucoup d’eau glacée, en fait, j’ai toujours quelques seaux remplis de glaçons face à une partie de blackjack qui s’annonce particulièrement perdante. Je le sens dès les premières mains, mais avec cette fichue spirale de perte, je sais que je m’enfonce.

Je me mets en colère contre le staff si c’est le site indispensable pour les joueurs Francophones puisqu’ils refusent de vous répondre si vous parlez dans une autre langue. Ou plutôt, ils vous répondent en langue des signes dans le mail ce qui n’est pas très pratique, vous avouerez !

L’envie de Jackpots

Tout le monde a envie de jackpots, en fait, on va sur ces fichus sites parce que moi, j’ai d’abord tenté le jackpot de l’école de la vie, je n’ai eu que des bleus et un portefeuille. Donc, je me suis dis que je vais faire autrement. Il y a de belles histoires sur les jackpots, en fait, j’en ai déjà touché deux dans ma carrière de joueur professionnel certifié par l’ARJEL. Sauf qu’à cause du péché suivant, j’ai eu la flemme de les retirer de mon compte.

La paresse de s’entraîner

Comme je le disais, déjà que j’ai la flemme de toucher mes jackpots, il est évident que ma fainéantise ne va pas améliorer mes entrainements. Oui, car je veux gagner le World Poker Tour et on m’a dit que le bon plan était de regarder Patrick Bruel sauf qu’il s’est cassé la voix dans sa formation Udemy “Comment je suis devenu un glandeur après mon World Poker Tour” et donc, je n’ai rien compris. Ce mec est une fraude dans la chanson, aux cartes et même dans les formations.

L’orgueil de ses victoires

Après mon premier tournoi victorieux au poker, j’ai voulu engager deux voitures d’escorte et une limousine pour faire le tour des champs élysées, mais on m’a dit que j’avais gagné 57,80 euros et que cela être un tantinet insuffisant pour faire quoi que ce soit. La victoire vous donne le vertige, enfin, vous pensez que vous avez compris le cerveau de la banque et que vous allez réussir à tout gagner, mais c’est pour retomber dans la colère des pertes.

La luxure des jeux à gros enjeux

C’est sûr que le High Roller me faisait l’oeil, j’étais allumé de la tête aux pieds et la preuve est que mon portefeuille en ligne s’est vidé à la vitesse de l’éclair comme dans une nuit en charmante compagnie avec des demoiselles qui ne parlait que le dialecte corse ce qui fait que ça donnait l’impression qu’elles parlaient en langage entique avec la même longueur.

Donc, on a commencé à 20 heures et leur bonjour n’était pas terminé à l’aube. Il est évident que les gros enjeux m’attirent, mais c’est comme une grosse compétition, il faut bien se préparer sinon on se retrouve rapidement fauché comme le blé et aplati comme une crêpe normande sans sucre.